Junulara-E-Semajno

La Junulara E-Semajno (« Semaine européenne de la jeunesse ») souvent abrégée en JES, est une rencontre européenne espérantophone annuelle d’une semaine organisée autour du nouvel an.

La première JES a eu lieu à Zakopane, en Pologne, pour le passage de 2009 à 2010. La deuxième édition à Burg, près de Cottbus en Allemagne en 2010/2011, la troisième à Gdańsk en Pologne en 2011/2012 et cette année JES a eu lieu en ligne en raison des conditions sanitaires. 

Mariana Evlogieva:

« Je me sentais de 30 ans plus jeune. 😉 Il y a exactement 30 ans, je faisais ce genre de rencontre au sein de TEJO. J’ai été heureuse de voir que les jeunes d’aujourd’hui savent aussi travailler et s’amuser. »

Sasha Murr:

« Je suis très heureuse que JES se soit produit virtuellement, j’étais heureuse de discuter avec des gens et de jouer au loup-garou 🙂 Un grand merci aux organisateurs. »

Mickaël Boris:

« Lorsqu’un JES en ligne a été annoncé il y a quelques mois, j’ai été très surpris! Je croyais avec optimisme en une victoire anti-virus et attendais avec impatience la traditionnelle célébration du Nouvel An à Esperantie. Les organisateurs, cependant, ont eu raison de décider dès le début d’organiser un JES en ligne et je pense qu’ils ont très bien travaillé pour cela; l’événement a été bien organisé et beaucoup de soin et d’attention ont été apportés à son bon déroulement. J’ai certainement raté un JES hors ligne: des rencontres surprises avec un nouveau collègue brillant et des retrouvailles charmantes avec un vieil ami, l’excitation d’une nouvelle rencontre amoureuse ou des sentiments mitigés à la vue d’un ancien amour, du travail intéressant lors des réunions, une promenade tranquille dans la neige, des conversations nocturnes avec du thé aux chandelles et des toasts bruyants à la vodka dans les bars… oui, tout cela manquait vraiment! Même en dispensant une formation, je manquais vraiment d’interaction en face-à-face avec les participants… Je suis heureux que malgré le coronavirus, nous ayons réussi à nous rencontrer (même en ligne), je suis heureux pour les amis que j’ai revus, pour les moments de jeu, pour les programmes intéressants; c’était différent mais j’étais heureux de participer, et surtout que cette année JES était plus accessible à ceux qui n’ont pas le privilège de vivre en Europe et de s’y déplacer librement. »

Leila Huin:

« Au début de mon service civique, quand nous devions travailler en ligne, JES était comme une porte de sortie, le premier événement auquel nous pourrions participer physiquement et non virtuellement. Puis, un JES virtuel a été annoncé, j’ai été déçue, mais j’ai quand même décidé de participer! Et quelle surprise, c’était différent des autres événements en lignes auxquels j’ai assisté. Ce n’était pas que des conférences ou des concerts, c’était des ateliers, des heures de rencontres, des jeux. »

One comment

Comments are closed.