REPORTE : Après le Brexit, quelle.s langue.s pour l’Europe?

REPORTE : Après le Brexit, quelle.s langue.s pour l'Europe?

Quand

29/09/2020    
20:00 - 22:00

La Topina
Place lange, Toulouse, 31300

Type d’évènement

Carte non disponible

En raison de la dégradation de la situation sanitaire sur Toulouse, nous avons décidé de reporter le débat à mars 2021, pendant le prochain SEMEO.

Le Centre Culturel Esperanto s’associe avec les Jeunes-Européens Toulouse pour organiser un café-débat sur le thème « Après le Brexit : Quelle(s) langue(s) pour l’Europe ? ».

L’objectif est à la fois d’évoquer la place de l’anglais en tant que langue commune au sein des institutions communautaires tout en introduisant la thématique des droits linguistiques liés aux langues dites régionales (Corse, Breton, Occitan, Gaélique, Catalan, Aragonais…) qui pourraient trouver dans le retrait de l’anglais une opportunité pour se réaffirmer.
Nos intervenants seront
  • Till Burckhardt, chercheur en économie linguistique à l’Université de Genève (Suisse), ancien Membre du Bureau international des Jeunes-Européens Fédéralistes.
  • Michel Martínez-Pérez, Directeur du Département des Langues et Civilisations de l’Université Toulouse 1 Capitole, Maître de Conférence en Espagnol et en Catalan.
  • Michael-Boris Mandirola, Ancien Président de l’Organisation Mondiale des Jeunes Espérantophones (TEJO), ingénieur informatique.

One comment

  1. Super ! La question doit arriver dans toutes les têtes avant que les Etats-Unis d’Am-nord nous impose « l’anglaitrangère » unique (comme la : € = « europ »), alors que nous avons sûrement de plus en plus besoin d’une langue commune… en attendant un choix collectif éclairé, il faut que chacun puisse étudier et choisir, d’abord pour soi – environnement familial, de tradition locale, (multi-)culturel, de voisinage, de choix intellectuel, littéraire, touristique, politique, ludique, … – puis pour sa zone d’influence – éducation des enfants, votes local, régional, national, usages professionnels ou autres…
    Parlez-vous, parlons-nous et tant pis pour les ‘xiteurs !

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