La semaine du 24 au 29 septembre fût à Toulouse celle de l’espéranto. Celle-ci a pris le nom de « SemEo », dans lequel on peut voir une contraction des mots semajno (semaine) et esperanto, mais aussi le verbe semi (semer).
En de nombreux lieux de la ville, l’espéranto s’est affiché et a rassemblé plusieurs dizaines de personnes autour d’une série de rendez-vous.
D’abord avec des rendez-vous permanents tel que l’exposition sur la diversité linguistique qu’a hébergé la Maison des associations d’Arnaud-Bernard. Ou bien tels que ces stands d’information qui ont été tenus quatre jours durant dans quatre des universités toulousaines.
Mais aussi des rendez-vous ponctuels, tel que les deux ateliers qui ont été animés le mercredi et le jeudi. Le premier était un atelier de découverte de l’espéranto animé à la Maison de quartier de Rangueil, et le second un atelier informatique animé en collaboration avec le Centre de Ressources en Langues de l’IUT de Paul Sabatier.
Et puis il y avait les rendez-vous marquants, ceux qui ont marqué les esprits. D’abord lundi, cette émission radio spéciale “20 ans d’EKC- avec la présence exceptionnelle (et téléphonique dans certains cas) d’invités qui ont travaillé ou milité pour notre association: neuf personnes en tout! Puis mardi, cette concérence donnée par Gijom sur les “cinq bons sens de l’espéranto- et sur le développement durable.
Et enfin samedi, cette conférence exceptionnelle des japonais Hori Jasuo et Arai Toshinobu, sur les suites de la catastrophe qui a frappé le Japon en mars 2011, et sur la nécessité d’en finir avec le danger nucléaire.
Cette semaine de l’espéranto a permis de créer un événement culturel autour de l’espéranto, et de démontrer la vitalité et l’utilité de notre langue.
Elle s’est achevée, mais une nouvelle saison d’activité commence pour nous!
